Est Républicain - Vie associative
27/05/2011
Les Petits Débrouillards parlent génétique -
DANS LE CADRE des activités financées par le « Contrat Urbain de Cohésion Sociale » — dispositif piloté par le Centre Intercommunal d’Action Sociale (CIAS), l’association Meuse Prévention organise des ateliers de prévention santé sur des thèmes aussi divers que l’alcool, le tabac...
Reconstitution de paires de chromosomes tout en s’amusant.
DANS LE CADRE des activités financées par le « Contrat Urbain de Cohésion Sociale » — dispositif piloté par le Centre Intercommunal d’Action Sociale (CIAS), l’association Meuse Prévention organise des ateliers de prévention santé sur des thèmes aussi divers que l’alcool, le tabac, l’hygiène ou la génétique. Éducation populaire
Ces ateliers se déroulent certains mercredis après-midi, planifiés en 2011, dans les locaux de l’Association Meuse Prévention (AMP) à la Côte Sainte-Catherine. Ils sont animés par l’équipe éducative de l’AMP et l’association des Petits Débrouillards ; avec des objectifs de prévention santé, mais aussi d’intégration. L’atelier du 11 mai avait pour thème « la génétique ». Il a rassemblé une dizaine de jeunes adolescents, qui adhèrent librement aux activités proposées.
L’association des Petits Débrouillards est une entité nationale et internationale, présente dans vingt pays à travers le monde dont les objectifs sont de faire découvrir le monde qui nous entoure, par une démarche expérimentale.
Cette association d’éducation populaire est le 1er réseau de culture scientifique et technique en France. L’atelier génétique a consisté en l’observation de cellules à l’aide de microscopes, la reconstitution de différents caryotypes en abordant les maladies génétiques, et l’analyse de l’ADN de la poire.
L’objectif de ces activités était de faire ressortir que nous sommes tous différents mais tous égaux. L’AMP qui organise ces rencontres, travaille à Bar-le-Duc, en partenariat avec le CIAS, les établissements scolaires, des prestataires extérieurs comme les Petits Débrouillards ou des dispositifs communaux, comme le Code-Jeune. Elle a déjà rassemblé une quarantaine de jeunes, lors de ces ateliers, et aspire à en intéresser plus encore, pour les suivants consacrés au stress, à la cyber-addiction et au tabac, d’ici fin 2011.
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